Le député l’opposition Biram Souleye Diop lors de son intervention de ce lundi à l’Assemblé nationale a annoncé que si le Premier ministre Amadou Ba ne répondait pas la question de confiance ils vont déposer une motion de censure. « Monsieur le ministre moi je suis encore en train d’attendre à votre deuxième prise de parole pour répondre à la question de confiance. Si elle ne vient pas j’informe au regard de tout le monde que nous les députés du groupe parlementaire de YAW nous allons décider deposer une Motion de censure contre votre gouvernement », a-t-il assuré.
Selon le parlementaire, l’état de droit au Sénégal qui constitue les libértés et les droits fondamentaux sont bafoués, à cause « des interdictions intempestives des marches pacifiques des organisations politiques et de la société civile. Nous pouvons ici même cité énormément de personnalités qui sont aujourd’hui détenu pour avoir dit leurs opinion. Je passe sur les noms. Les questions couvertes par la démocratie sont nombreuses et variées touchant les institutions démocratiques, la citoyenneté etc. La démocratie sénégalaise est aujourd’hui dans un coma causé par les agressions multiples de la part d’un pouvoir inélégant et qui manque de vision », a fustigé le député de YAW.
À en croire ce dernier, c’est avec indignation que ces régressions sur les acquis démocratiques qui ont été conquis au prix de hautes luttes sont notées.
« Au moment où ces mots sont prononcés des actes liberticides font le lot quotidien de l’activité du gouvernement sont commis. La prensemtion d’innoncence est bafouée, la détention arbitraire est de plus en plus monaie courante, la liberté de manifestation est systématiquement violée la liberté d’association est malmenée, la liberté d’opinion est encastrée la liberté d’expression est étouffée. Les droits les plus élémentaires comme mangé, dormir se loger(…) sont devenus difficiles dans ce pays », a fustigé Biram Souley Diop.
De ce fait, il dénonce « la tuerie d’honnête citoyens totalement désarmés aussi bien lors des manifestations et je parles des 14 morts, de François Mancabou, de Didier Badji, de Flubert Sambou . J’aurais bien aimé qu’on ai un discours sur ces hommes qui ont défendu leur nation et dont leur conditions de mort demeure un mystère. L’état du Sénégal est absent, il n’existe qu’entre 20 h et 21 h sur les canals de la RTS après il disparaît. Sa présence n’est pas senti par les populations il y’a les agresseurs, les meurtres… ».
Face à cette le député demande à ce que tous les détenus politiques soient libérés, qu’on restitue à Khalifa Sall et à Karim wade leur droit et nommé sans délai un ministre non partisan chargé de l’organisation des élections(…) et abrégé les souffrances des Sénégalais.
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